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DE 3 : Habiter le trouble - Zeebrugge - Lionel Debs

Semestre 8

Responsable(s) : Lionel Debs

Enseignant(s) : Kevin Maïqués, Antonella di Trani, Emmanuelle Bouyer

  • Année : 4
  • Semestre : 8
  • E.C.T.S : 13
  • Coefficient : 5,00
  • Compensable : non
  • Stage : non
  • Session de rattrapage : non
  • Mode : option
  • Affilié à un groupe : non

Objectifs pédagogiques

DE3 Expérimental

Atelier de Projet S8 . Habiter le Trouble - Rendre Visible

ZEEBRUGGE

 

 

Lionel DEBS

. Maître de Conférences Associé . Enseignant TPCAU . Architecte DPLG

 

Emmanuelle BOUYER

. Maître de Conférences ATR . Enseignante Chercheuse ATRPV . Architecte DPLG . Artiste Plasticienne

 

Catherine RANNOU

. Professeure TPCAU . Chercheuse Laboratoire CRH - LAVUE . Architecte DPLG et Artiste Multi-média

 

Antonella DI TRANI

. Maîtresse de Conférences Associé SHS . Docteure en Anthropologie Sociale et Ethnologie

 

Kevin MAIQUES

. Maître de Conférences Associé STA . Ingénieur Développement Durable, Confort Thermique et Energies

 

 

 

OBJECTIFS PEDAGOGIQUES

 

L’atelier de projet « Habiter le Trouble » s’intéresse à l’émergence de possibilités conceptuelles et programmatiques au travers de la lecture complexe d’un territoire existant situé, aux contours et limites à explorer. Programmes, fonctions, modes opératoires et usages ne sont pas pré-définis : le territoire d’étude est le préalable à leurs propositions.

 

En préambule du « projet de paysage : lettre aux étudiants », Michel Corajoud annonce d’emblée que « pour faire un projet, sur un territoire qui vous est le plus souvent étranger, vous devez combler, dans un temps court, un déficit énorme de connaissances et mille questions doivent être posées ». C’est en ce sens qu’arpenter le site, le questionner, se positionner par rapport à tel ou tel sujet, avoir un regard et une position critique sur un élément notoire du lieu et prendre en considération la réalité de terrain auprès d’acteurs réels, que l’étudiant sera amené à développer une approche sensible et critique d’un territoire, proposer une problématique associée et des scénarios situationnels, pour enfin développer un projet engagé dans une démarche critique.

 

Cette approche permet à l’étudiant de responsabiliser ses propos par rapport à un site et d’offrir des possibilités conceptuelles nouvelles, visionnaires, avant-gardistes et adaptées à un lieu spécifique dans un monde qui évolue. Cette approche envisage notamment les objectifs pédagogiques suivants :

 

Préparer de façon trans-disciplinaire au PFE et PFE mention Recherche. Ce groupe de projet « Habiter le Trouble » vise, parmi ses objectifs, à travailler en lien avec le séminaire « Habiter le Trouble » ; nourri par les travaux très interdisciplinaires de Donna Haraway à qui ce groupe emprunte son titre, et par d’autres auteurs et personnes ressources.

 

Questionner, en tant qu’architectes, le confort et l’inconfort du monde, l’économie de moyen, l’écologie sociale, l’urgence environnementale et la co-existence des vivants pour produire des opportunités conceptuelles inattendues et des lieux pensés autrement pour de nouveaux modes d’existence en gestation au sein d’un territoire qui évolue

 

Proposer, face aux évolutions et révolutions à opérer sur les espaces privés, publics et intermédiaires, des modes de vie émergeants par des propositions spatiales et organisationnelles

 

Se former en différents modes opératoires de participation et d’échanges à la collaboration en groupes, à la trans-disciplinarité et au partage des savoirs, pour un projet régi par la prise en compte de cette approche plurielle.

 

 

 

TERRITOIRE D'ETUDE : ZEEBRUGGE

 

Zeebrugge, une localité située sur la côte belge et appartenant à la Ville de Bruges.

Il est notamment prévu un voyage de 3 jours en début de semestre sur le lieu d'étude en immersion avec ce territoire de Zeebrugge.

 

Sa situation stratégique a permis à Zeebrugge de devenir un important port maritime et une base navale qui étend la collectivité de Bruges de ses terres intérieures aux côtes de la mer du Nord. Malgré une activité portuaire industrielle, artisanale et une grande vulnérabilité au risque de montée des océans, Zeebrugge est une localité qui interroge la possible transformation d’un tel lieu au regard de son intérêt de port de plaisance, de plages attrayantes et de potentiel futur refuge climatique européen.

 

Ni central, ni linéaire, Zeebrugge offre la possibilité de travailler sur le futur d’une localité emprunte à une croissance foncière à venir, au travers d’une familiarité qui nous attire et dont la position stratégique fait apparaître des singularités liées à la particularité de son port occasionnant des allers et venues de vivants au travers de mobilités humaines.

 

Le territoire d’étude est vaste. L’arpentage de ce lieu par les étudiants leur permettra de définir par eux-mêmes une définition d’un périmètre de travail associé à une problématique soulevée. Les options de projet (sites ou autres) ainsi que les objectifs de programme seront déterminés en concertation avec les enseignants et confrontés aux usagers de terrain, ainsi qu’aux questions de l’ensemble des thématiques de travail abordées.

Contenu

CONTENU

 

« Habiter le trouble, dit Donna Haraway, est une invitation à penser, à ouvrir de nouvelles possibilités de cohabitation et de continuation, dans des temps de bouleversements écologiques et de violences naturelles et culturelles. »

 

Ces bouleversements, que nous côtoyons au travers du fil de l’actualité, nous incitent à nous questionner, en tant qu’architectes, aux nouveaux possibles que le territoire, le paysage et la ville doivent pouvoir être en mesure d’offrir à une population changeante aspirant à d’autres formes d’habiter, de travailler ou d’évoluer. Ces changements de mode de vie rapides, possibles pour les humains dans une temporalité très courte, positionnent nos territoires construits et non construits dans des situations devant pouvoir « encaisser » ces renouvellements perpétuels.

 

Ces modifications sociétales humaines possibles sont par ailleurs aussi confrontés à des sujets de réchauffement climatique, de réduction des moyens, de réorientations fondamentales des modes de vie, de l’inter-dépendance du local et du global, mais aussi d’autres formes de dynamismes décalés, à l’image de la croissance lente de végétaux, de l’existence des animaux à l’évolution différenciée, etc…

 

A l’initiative involontaire première des activités humaines — si du moins nous pouvons le supposer — la présence de nouveaux végétaux, de nouveaux animaux, la modification des tracés ou flux de ressources terrestres ont également été à l’origine d’une modification récente de nos territoires. C’est ainsi que certaines espèces animales ou végétales se déplacent à présent par voies navigables ou par avion et modifient nos écosystèmes, jusqu’alors spécifiques.

 

Ces modifications territoriales liées à des mouvements de populations vivantes autres qu’humaines, nous obligent à présent à réfléchir à ces nouveaux Territoires Génériques, à mettre en parallèle avec la Ville Générique, au sein de laquelle plusieurs entités identiques (commerciales, de design, de mode, de phrasé, d’attitudes, …) se retrouvent au coeur de métropoles mondiales différentes n’ayant pourtant pas les mêmes origines ou la même histoire. Et pourtant, ces attitudes identiques poussent nos villes à se ressembler, selon une forme commerciale admise par la plupart, et dont l’attrait spécifique n’est plus aussi clairement singulier.

 

Dans ces réévaluations, la coexistence des vivants (humains, végétaux, animaux et autres) comme leur bien-être respectif sera au centre des préoccupations. Pouvoir envisager le projet en tenant compte des grands changements mondiaux, tout en prenant soin de s’attarder sur la possible co-habitation des existants locaux, confère à l’architecte ce nouveau rôle indispensable de facilitateur entre plusieurs acteurs et disciplines.

 

Au-delà de cette importante nécessité d’invention conceptuelle en résonance avec un territoire particulier, l’étudiant sera confronté à la réalité du terrain, auprès d’acteurs réels du territoire dans un second temps. Nous citerons ainsi ici volontiers l’architecte italien Giancarlo de Carlo qui voit l’architecte comme l’interprète et le réconciliateur des aspirations locales exprimées. Dans un article édité par le journal Le Monde en 2004, il fait notamment état de l’écoute des habitants qu’il ne cesse de préconiser. En ayant pris soin de réaliser ce travail pour deux projets majeurs de son oeuvre, il explique que 'la participation, c'est une question de désaliénation réciproque. Un architecte doit réviser complètement ses idées au contact des habitants et de la réalité. »

 

Enfin, sur la base de ces nouvelles causes et donc de nouvelles conséquences, Habiter le Trouble est un acte de création où l’objectif architectural et pédagogique sera de produire des lieux pensés et conçus autrement pour de nouveaux modes d’existence en gestation. Et même si aucune table rase du passé et des meilleurs acquis ou ses erreurs n’est envisagée, nous sommes confrontés comme après toutes les grandes mutations fondamentales aux nécessités de vivre le monde autrement et donc de reconsidérer nos modes d’actions. Notre regard change et, en conséquence, nos interventions en tant qu’architectes changent.

 

 

 

METHODOLOGIE

 

Identifier des lieux et sites en fonction des arpentages et des rencontres

S'engager sur un territoire auprès d'acteurs réels, s'entretenir avec les habitants, retranscrire pour faire projet.

Faire émerger des sujets et problématiques, des questions ouvertes auxquelles l’étudiant souhaiterait pouvoir apporter une réponse

Mettre en place un argumentaire problématique et engager des scénarios situationnels

Définir une programmation spécifique et de nouveaux modes de formulations spatiales face à de nouvelles considérations

Ré-interpréter les programmes conventionnels, les usages et les fonctions en opportunités de conception projectuelle

Manipuler les notions immatérielles par des outils de représentation graphique

Asseoir les hypothèses de projet par des vérifications techniques spécifiques (confort environnemental, lumière, etc…)

S’approprier et adapter les outils de représentation à chaque recherche personnelle, et parfaire / élargir sa culture graphique de la représentation architecturale contemporaine

Représenter et transmettre par le dessin et l’image, en adaptant le médium le plus adéquat à chaque situation

 

L’étudiant curieux, motivé et persévérant s’engagera dans un travail itératif à plusieurs échelles en même temps, où la manipulation des outils et la recherche permanente, permettront d’assurer un argumentaire solide pour un projet à l’échelle du propos tenu. Le processus d’exploration, de formalisation, de création et d’expression sont d’une importance capitale à la communication des propos d’un étudiant engagé dans une démarche critique. Dans un territoire existant complexe avec des acteurs réels, l’étudiant développera et confrontera un projet innovant engagé dans une réalité volontairement opérationnelle.

 

Des enseignements complémentaires dispensés par les membres enseignants du groupe de projet se feront dans le cadre de l’atelier. En fonction des sites retenus, des problématiques et des scénarios envisagés, ces enseignements seront adaptés par les enseignants du groupement de sorte à pouvoir développer le projet.

 

 

 

TERRITOIRE D'ETUDE : ZEEBRUGGE

 

Zeebrugge, une localité située sur la côte belge et appartenant à la Ville de Bruges.

 

Sa situation stratégique a permis à Zeebrugge de devenir un important port maritime et une base navale qui étend la collectivité de Bruges de ses terres intérieures aux côtes de la mer du Nord. Malgré une activité portuaire industrielle, artisanale et une grande vulnérabilité au risque de montée des océans, Zeebrugge est une localité qui interroge la possible transformation d’un tel lieu au regard de son intérêt de port de plaisance, de plages attrayantes et de potentiel futur refuge climatique européen.

 

Ni central, ni linéaire, Zeebrugge offre la possibilité de travailler sur le futur d’une localité emprunte à une croissance foncière à venir, au travers d’une familiarité qui nous attire et dont la position stratégique fait apparaître des singularités liées à la particularité de son port occasionnant des allers et venues de vivants au travers de mobilités humaines.

 

Le territoire d’étude est vaste. L’arpentage de ce lieu par les étudiants leur permettra de définir par eux-mêmes une définition d’un périmètre de travail associé à une problématique soulevée. Les options de projet (sites ou autres) ainsi que les objectifs de programme seront déterminés en concertation avec les enseignants et confrontés aux usagers de terrain, ainsi qu’aux questions de l’ensemble des thématiques de travail abordées.

Travaux

Le calendrier de travail est transmis aux étudiants au début du semestre.

Il est prévu d’organiser trois principales temporalités dans le cadre de l’atelier :

 

 

1. TERRITOIRE VECU


- Arpenter le lieu in situ dès la première séance : lire le territoire, observer des détails, comprendre des phénomènes, détailler les échelles, transcrire physiquement les distances, noter les intérêts, relever les inconforts, identifier les lieux malades, lire l’apogée d’un lieu, reconnaître ses faiblesses et le moment où il n’a plus été, pourquoi existe-t-il ainsi,…etc…
- Retranscrire par différents médiums ces éléments en présence
-

Sélectionner un périmètre d’étude


- Questionner et interpréter les éléments de l’environnement pour soulever une problématique


- …



 

 

2. POSTULAT POUR UN TERRITOIRE : INTUITIONS, IDEAUX, SCENARIOS


- Retranscrire des intuitions idéales pour une problématique envisagée


- Elaborer des scénarios narratifs
- Définir des fonctions, possibilités d’usages, interactions entre vivants, évolutions envisageables, …


- Elaborer un programme


- …



 

 

3. TERRITOIRE PROJETE


- Manipulations des idéaux, scénarios, intuitions sur le territoire choisi


- Agir sur l’environnement par le projet


- Ouvrir sur les perceptions de l’évolution du territoire à longue échéance


- …

 

 

Les outils principaux d’investigation pour la reconnaissance des lieux sont multiples :

- les inventaires de différentes natures,

- l'utilisation de protocoles d'arpentages, de médiation,

- les enquêtes de terrain dessinées et écrites,

- le « transect » à l'échelle du grand paysage,

- identifier des déséquilibres,

- le scénario, le diagnostics

- le dessin comme intuition et vérification,

- le projet/ actions sur l’espace,

- les modes de restitutions seront variés suivant les options prises

- rendre visible le résultat par le dessin, des vidéos, des textes, des maquettes à toutes échelles ou autres.

Bibliographie

51N4E, Double or Nothing, AA Publications, 352 pages, 2011.

ALBECKE, Marie-Fleur et all. Recherche action : La ville côté femmes : le corps, révélateur des spatialités. Projet de recherche-action participatif et critique à Gennevilliers, 2016.

ATWOOD, Margaret. Maddaddam. Bloomsbury, McClelland et Stewart, 2013.

AVELINE, Natacha. La centralité du foncier dans le régime d’accumulation du capital en Chine. Revue de la régulation, 11.12.2017.

BENJAMIN, Walter. Expérience et pauvreté. Paris, Payot, 2011.

BERQUE Augustin. La Pensée Paysagère. Paris, Aux Editions éoliennes, 128 pages, 2016.

BONNET, LANDIVAR, MONNIN. Heritage et Fermeture, une écologie du démantèlement. Ed. Divergences, Paris 166 pages, 2021.

BUTLER, Judith. Rassemblement. Pluralité, performativité et politique. Paris, Fayard, 2016.

CORAJOUD Michel, Lettre aux étudiants de Versailles.

DESPREZ, Vinciane. Habiter en oiseau. Paris, Actes sud, coll. « Mondes sauvages », 2019.

DE FONTENAY, Élisabeth. Le silence des bêtes. Paris, Fayard. 1998.

DELEUZE, Gilles et GUATTARI, Félix. Différence et répétition. Paris, PUF, 1968.

DE LA SOUDIERE Martin, Arpenter le paysage, Editions Anamosa, 384 pages, 2019.

DUPERREX Matthieu. La Rivière et le Bulldozer. Editions Carnets Parallèles / La vie des Choses. Paris, 129 pages, 2022.

FROMONOT, Françoise. Glenn Murcutt, Œuvres et projets. Paris, Electa-Gallimard, 1995.

GLISSANT, Édouard. Tout-monde, Paris, Éditions Gallimard, 1995.

GOFFMAN, Erving. La mise en scène de la vie quotidienne, Paris, Les Éditions de Minuit, 1973.

HARAWAY, Donna et PIERON, Julien et DESPRET, Vinciane. Habiter le trouble. Liège, Éditeur Dehors, 2019.

KOOLHAAS Rem, Junkspace / Repenser radicalement l’espace urbain, Editions Payot, 128 pages, 2011.

KOOLHAAS Rem, Stefano Boeri, Kwinter Sanford, Nadia Tazi et Hans Ulrich Obrist, Mutations, Actar Editions, 2000

KRAUSS, Rosalind et BOIS, Yves-Alain. L’informe : mode d’emploi. Catalogue d’exposition. Paris, Éditions du Centre Pompidou, 1999.

LA BOÉTIE, Etienne de. Discours de la servitude volontaire. Paris, Éditions Flammarion, 2016.

LATOUR, Bruno. Où atterrir ? : Comment s’orienter en politique. Paris, La découverte, coll. « cahiers libres », 2017.

LAURENT, Éloi. Social Écologie. Paris, Flammarion, 2011.

LAURENT, Éloi. Sortir de la croissance : mode d’emploi. Paris, Les liens qui libèrent, 2019.

OBRIST Hans Ulrich, Way of Curating. Londres, Penguin, 2015.

OGAWA, Yoko. Le musée du silence. Paris, Actes Sud, 2003.

MERLEAU-PONTY, Maurice. Le visible et l’invisible. Paris, Gallimard, 1964.

MORIZOT Baptiste. Sur la Piste Animale. Paris, Actes Sud, 2018.

NORBERG-SCHULZ Christian, POSTIGLIONE Gennaro. Sverre Fehn : Works, Projects, Writings. New-York, The Monacelli Press, 1998

PAPANEK, Victor. Design pour un monde réel - Écologie humaine et changement social. Paris, Mercure de France, 1974.

PIASERE, Léonardo. I rom d’Europa, Una storia moderna. Rome, Laterza, 2004

RUSCHA Ed, Every Building on the sunset strip, Los Angeles, 1970.

STEINMEN, Gloria. Moving beyond words. New-York, Touchstone, 1995.

STENGERS, Isabelle. Réactiver le sens commun, lecture Whitehead en temps de débâcle. Les Empêcheurs de tourner en rond, 2020.

TESSON Sylvain. La Panthère des Neiges. Editions Gallimard, Paris, 192 pages, 2021.

THOREAU, Henry-David. La désobéissance civile. Paris, Éditions Flammarion, 2020.

TILLON Laurent. Etre un Chêne, Sous l’écorce de Quercus. Editions Actes Sud, 320 pages, 2021.


VENTURI - SCOTT BROWN Robert et Denise, L’enseignement de Las Vegas, Editions Mardaga, 192 pages, 1978.


WOOLF, Virginia. Promenade au phare. Paris, Le livre de Poche, 2018.

ZASK Joëlle. Zooitjes, Des animaux sauvages dans la ville. Editions Premier Parallèle, 250 pages, 2020.

Informations supplémentaires

Ces supports seront ajoutés au fur et à mesure sur TEAMS.

Enseignements et introductions aux processus de conception de l'atelier par des apports théoriques préalables au voyage.